La qualité de l'accueil est une nécessité aussi
bien dans les secteurs privés que publics. Par respect pour les usagers
ou les clients, il est souhaitable d'avoir des locaux dont le
décor et la commodité sont adaptés. Même si au fond c'est ce qui coûte"
le plus cher, c'est ce qui est le plus commode à réaliser.
Un minimum reste incontournable sur le plan matériel! Mais le moins onéreux c'est la qualité humaine de l'accueil.
Pourtant c'est souvent ce dont on s'occupe le moins car... c'est le point le plus
délicat.
L'accueil c'est simplement de la
communication , mais pas du relationnel. C'est être capable de
beaucoup de chaleur humaine,
mais sans
affectivité. C'est
savoir écouter (et
aider à s'exprimer, pour qu'il précise sa demande) le
client ou l'usager avant de lui expliquer quoi que ce soit. C'est
savoir gérer l'agressivité par l'accueil plutôt
que par des systèmes de défense ou de justification.
L'accueil des autres passe par un
minimum d'accueil de soi. Il est difficile d'être vraiment ouvert
aux autres quand on est fermé à soi... car les autres nous renvoient
toujours à ce qui nous gêne! Être vraiment dans une qualité d'accueil,
c'est être dans une grande qualité de communication avec les autres et avec
soi-même.
C'est ce qui sera la meilleure représentation, ce
qui donnera la meilleure image de la structure professionnelle.
c'est aussi ce qui facilitera le travail des autres
collaborateurs qui n'auront pas à gérer ce qui aura été
négligé (ou même parfois provoqué) par un accueil de mauvaise qualité.
Les éléments de la page communication
vous donnerons de nombreux détails ainsi que les formations
à ce sujet.
Pour en savoir plus sur
l'approche vous pouvez lire les articles
Assertivité
(13 pages)
Professionnaliser l'accueil (31 pages)
Le stress est-il le mal du siècle? Sachez que
le verbe
"to stress" en anglais signifie "souligner, faire ressortir,
mettre en évidence" Peut-être que ce qui nous stresse fait simplement
ressortir les points sur lesquels nous avons été négligents... les points
qui n'ont pas bénéficié de notre attention.
Plus nous naviguons dans la vie sans regarder,
plus le stress
sera un moyen inconscient de nous prévenir.
C'est toujours le signe que nous
avons manqué de sensibilité (c'est à dire de discernement, d'acuité, de
lucidité) par rapport à une zone de l'existence. Soit nous avons négligé
de tenir compte de nous-mêmes, soit nous avons négligé de tenir compte des
autres.
Il est vrai que le réflexe culturelle face aux difficultés
ou aux agressions est l'évitement, le déni ou le
rejet... rarement la prise
en compte de la réalité. Que ce soit face à soi-même ou face aux
autres.
Je considère ce qui stresse un peu comme une sorte de
lien hypertexte qui nous renvoie vers ce qui est essentiel. Pour le gérer, il ne
faut pas lui infliger la touche "supprime" mais plutôt lui adresser
un "clic" d'attention pour ouvrir les vraies données du problème.
Gérer le stress revient à mieux prendre en compte les autres
et soi-même... gérer le stress revient à une grande qualité de
communication
avec les autres et avec soi-même
L'évitement du stress ne fait qu'ajouter le stress au
stress.
Comme si après la touche "supprime" il apparaissait encore des
liens hypertextes qui vous renvoient à la corbeille où vous l'avez jeté.
Pour croître en confort et en efficacité, il est fondamental
de gérer le stress sans le rejeter. Pour mieux comprendre ces mécanismes,
vous pouvez lire la page communication
, psychothérapie
, application à
soi-même et formations
de ce site sur ce thème et surtout l'article Stress
et Mieux-Être (16 pages)